Accueil»Revue de presse»Le Dauphiné Libéré, 19 mars 2018 : Les trésors cachés de Saint-Barnard

Une vingtaine de personnes ont pris part à la visite guidée

Samedi après-midi, une vingtaine de personnes a suivi les pas de Jean-Yves Baxter, président de l’association Les Amis de Saint-Barnard et du Calvaire des Récollets, pour découvrir les trésors cachés de la collégiale Saint-Barnard. En l’an 837, Barnard, alors archevêque de Vienne, vint s’installer sur les bords de l’Isère pour y fonder une abbaye bénédictine. Cet emplacement n’était pas du au hasard mais à la présence d’un gué naturel, formé par les rejets de la Savasse. Pour bâtir une abbaye, il faut des tailleurs de pierre, des maçons, des menuisiers, des charpentiers. Et pour nourrir tous ces gens, il faut des agriculteurs et des éleveurs. C’est ainsi que, rapidement, une ville naquit autour de l’abbaye et de l’église fondées par Barnard. Ville qui portera le nom de Romans. Aujourd’hui, la collégiale renferme de nombreux trésors, témoins de sa longue histoire : éléments architecturaux, peintures murales du chœur, boiseries, tentures de la Passion du Christ, fresque des Trois Doms. Agrémentée de nombreuses anecdotes, la visite permettait de découvrir la richesse et la beauté de cette église. Elle se terminait par la montée au triforium, cette galerie située à 12 mètres de hauteur et qui fascine toujours autant les visiteurs en leur offrant une vue imprenable sur le chœur, les peintures murales et l’ensemble de la collégiale.

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Les Amis de Saint-Barnard et du Calvaire des Récollets 5 rue des Trois Carreaux
26100 Romans-sur-Isère
France

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